Alors, tout en métaphore et je décerne la plume d'honneur à celui qui comprend ! mdr !
Amère ma douce, ma chère qui s'évade en silence
Elle roule elle se tend de l'iris vers le sol
Elle fait bien plus mal que la moindre parole
Amère, elle saigne la douleur en présence
Ma douce, elle se cache dans la main qui l'effleure
O ma chère, ma merveille, ma goutte de malheur !
Douce, elle se pose et s'impose en souffrance
Ephémère au dehors mais si présente en moi
Ma chère, amère, c'est dans la peur que je me noie
Ma chère, tu t'évapores, ô ma douce délivrance !
Amère meurt au bord du précipice où je sombre
Quelques part une larme m'a remplacé dans l'ombre.