Nos dédales, nos rivières, nos détours
L'invisible secret d'invisibles séjours
Nos temps s'abîment, nos navires se contemplent
Les miroirs insolaires, leurs fièvres latentes
Les ruines chaleureuses, nos déserts fanés
Un grain de poussière un grain de... regrets
Ô s'il fallait... Noyer les silences dans de semblables peine
L'île de nos trésors, nos navires à la mer
Sur nos visages chavirent nos vers
mon reflet comme une ombre dans ta lumière
Bel âge, vingt ans, nos navires s'elèvent
Voiles flanantes, si matinales... les ailes d'un rêve.
Bon, encore un qui est sorti tout seul du plus profond de mon inconscient. Y a-t-il un psy dans la salle ?
Et je précise, on sait jamais, vers 4 "miroirs insolaires", non je ne me suis pas trompé de mot, c'est un néologisme conscient, crée juste pour l'occasion avec une sorte de triple jeu de mot ! (
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