J'ai épuisé les mots tant j'ai citer ton nom
Dans toutes les métaphores que ma plume a trouvé
Tu as inventé l'aride de mes poèmes
L'amer de mes regards et l'ombre de mes pensées
J'ai épuisé mes nuits à t'espérer sans cesse
Dans les rumeurs que d'autres m'apportaient
Et puis... et puis toi, juste toi, sortie d'un rêve
Toi, comme autrefois, juste toi, qui te ressemble encore
Toi, deux larmes idiotes sur tes joues criminelles,
Mes larmes dans tes yeux, ta peine dans mon coeur
Une fraction de seconde, était-ce là ton rire ?
Rien qu'un instant de toi, comme un instant d'hier
D'instinct, ta tête sur mon épaule
Et mes mots sur tes lèvres " tu m'as tellement manqué"
Toi, juste toi, ô j'avais presque oublié
La ligne de pensée qui nous reliait parfois
Toi, juste toi, mon point d'équilibre,
Et le chagrin s'enfuit par la fenêtre ouverte...
nb : c'est encore une ébauche... j'en ai marre, j'arrive à rien en ce moment ! ça va pas ça va pas ça va pas !