Encore un accès de fièvre dû à la mélancolinite ! bien je vous promets, c'est la dernière fois que je parle de cette histoire ( sauf si je recroise encore la personne concernée, Plume tais-toi tu en dis trop sur toi ! mdr !)
Bonne lecture et sortez les mouchoirs, c'est encore une fois pas joyeux cette affaire ( vous me direz, Plume écrire un poème joyeux ? ya comme un problème dans l'énoncé comme dirait une amie à moi.)( pour Tc, celui-là, j'en suis satisfaite. :wink: )
Quand mes yeux se posent sur ton souvenir ils pleurent
Mourir dans cette pluie fragile de larmes anciennes !
Ton ombre sur mes paupières c'est le vent qui l'amène
Par un parfum d'hier enfermé dans mon coeur
Quand mes yeux se posent sur ma vie ils se ferment
La honte puis la rage les embrume de peur
La neige sur mon visage c'est le jour qui la sème
Comme des étoiles mortes empestant le malheur !
Et quand mes yeux s'échappent vers l'avenir ils fuient
Le temps qui les détourne est une roue crevée
Elle tourne dans le vide et se nourrit d'oubli
Elle fait courber l'échine qui voulait s'élever.
En vain ! Mes yeux se sont perdus dans la lumière
Et se sont embourbés dans la nuit toute entière !