Adieu

Adieu

Le vent souffle encore
TOn nom bercé par la mer
Et ma peine coule sur ses murmures
Jusqu'à l'horizon des souvenirs perdus.

Je tiens dans mon coeur
La lame qui a coupé nos amarres
D'autrefois, elle dépose sur ma paume
Ce sang qui respire toujours.

Et ta terre, à genoux,
Supplie que je lui rende l'enfant
Que je tuais de ma liberté
A le vouloir sourire.

Alors je t'espère revenir à travers la brume.
Mais je m'enferme dans la douleur
A t'entendre me dire des adieux d'un silence
Je m'accroche, pauvre folle, à l'espoir.

Pourtant ce soir tout est fini,et je t'attends
Juqu'à me perdre dans ton absence
Et je meurs, solitaire, sur la proue
D'où je te vois m'oublier de soulagement.

'Mon Ange, mon enfer,
Mon amour, mon ami
Pour toutes les douleurs que je t'ai données
Je te sacrifie ma tendresse et t'abandonne, à tes souhaits.'



Inutile de vous préciser que ce matin L... ou Secret pour mes Muses, à déclarer en gros qu'il ne voulait plus me revoir, et que j'avais à jamais perdu son amitié ou son amour. Si quelqu'un à un ascenseur pour me remonter du fond que je viens d'atteindre, il est le bienvenu.

Bon, ton poème est splendide, inutile de le préciser...

Sinon, pour l'ascenseur je ferai ce que je pourrai..
Si il ne veut plus te revoir, et bien, tant pis pour lui, parce qu'il va manquer quelque chose... et c'est de sa faute s'il n'a pas voulu laisser la porte de sortie ouverte...

Maintenant tu vas arrêter de penser à lui (sinon, tu sais que je vais te tuer, mais, dans ma grande bonté je te laisse le choix de la manière...), essaye d'exorciser tout ça en écrivant des poèmes, je pense que c'est un bon moyen...

Tu sais que tu peux toujours me parler, enfin comme la dernière fois...

Je crois que je pense exactement comme Riza. S'il a fermé sa porte, ferme la tienne aussi.

Cherche du fil et une aiguille et fais
sur ton coeur quelques points de suture
La cicatrice reste mais le temps va passé
Effaçant doucement les traces de la blessure

Cherche une gomme au fond de ton âme
Efface le croquis d'un trop mauvais dessin
Et repeint sur tes murs au-dessus de ton drame
Les nouvelles couleurs d'un nouveau matin

Et fais tarir la source de tes larmes
On finit par guérir si la patience est là
Et fais tarir la source de tes larmes
Dans l'attente la plaie se refermera.

Snif, c'est beau... Tu me mets la première marche ?

Oui, je sais, j'y peux rien Riza moi, si je tiens à lui (je devrais parler au passé, mais je peux pas...) et si j'y pense. C'est un peu normal non ? De toute façon, comme tu dis, je me jette sur ma plume (pas Plume hein, plume lol (j'arrive même à faire de l'humour)) pour essayer de le retrouver sur le papier au moins, avant d'avoir tout oublier de lui (même si je veux pas l'oublier, mais je pourrais rien contre ). Et puis, c'est les vacs, je susi chez moi, je sors voir ma couz et tout, ça me change les idées. Et comme mes parents voulaient plus que je le vois, je suis obligée de prendre sur moi pour pas le montrer !!!
Bon, j'écoute Glay aussi, mais ça ça remonte pas le moral...

Ok, désolée du HS, mais faut que je le dise.
C'est définitivement fini, je lui ai dis que j'en avais marre, ses potes se sont bien fichue de ma gueule, y'est plus question que je le vois.