Lorsque le soir tombe, d'un ciel marbré de bleu,
Et que mes yeux se posent sur l'horizon violet
Je pense en regardant l'astre mourant des cieux
Que tu résides là, au seuil de son tombeau
Dans l'invisible brise qui, comme les flots
Sereins d'une mer basse, par la peine noyée
Murmure une plainte lente comme autant de regrets.
Le froid mord la campagne endormie dans l'automne
Et mon âme glacée cherche un feu que le temps a soufflé...
EDIT : pour corriger une faute d'Orthographe qui m'énervait bien ! mdr !
Edit 2 : je viens de relire ce poème et je m'aperçois que " l'astre mourant des cieux" ça ne doit pas être du moi. Ce bout de vers là a très certainement déjà été écrit quelque part mais je suis incapable de me rappeler où et par qui. En tout cas, je suis sûre que ça n'est pas du moi... milles excuses pour ce plagiat involontaire