Vaille que vaille je vole et vais me perdant
Dans les bras immenses du vent qui porte
Aux quatre coins cachés d'un monde étonnant
Mes petits mots discrets mes toutes petites notes.
Vivre et vivre, pourquoi, comment ?
Je ne sais si elles atteignent leur but finalement...
Vaille que vaille, je flotte, glisse dans le courant
D'un fleuve impétueux aux tourbillons grisâtres
Mais le ciel est bleu qui s'y reflète et tend
Ses mains vers moi, ses mains que j'attrape
Vivre et vivre, pourquoi comment ?
Je ne sais si elles atteignent leur but finalement...
Vaille que vaille que je marche ! Si je tombe
Ton sourire, mon ange, me relève promptement
Et tu vis, et je vis, à mon rêve je succombe
Et je sais qu'il atteint son but finalement.
( Riza, je crois que je t'ai écouté inconsciemment, je suis rentrée dans un période de calme poétique où règne un peu l'espoir ! )